Le podcast de VoGay
Le Podcast Récit(f)s d’Hippocampes a été créé à l’occasion de l’IDAHOT 2020. Entièrement réalisé par le Groupe Jeunes de Vogay, il vous emmène à travers 7 entretiens intimes et libres. Merveilleuse occasion de comprendre leur vécu, leurs espoirs et leur vision du monde, Récit(f)s d’Hippocampe met les mots justes sur la diversité sexuelle et de genre, et vous invite à prendre conscience de vos préjugés en ouvrant des portes pour penser autrement. C’est un podcast qui se veut par les diversités pour une plus grande solidarité.
Pourquoi Récit(f)s d’hippocampes? Tout d’abord parce que l’hippocampe brouille les frontières du « genre » puisque ce sont les femelles qui font la cour aux mâles, avant de pondre entre 5 et 1800 oeufs dans leur poche. Les rapports sociaux sous-marins des hippocampes sont alors beaucoup plus égalitaires, peut-être du au fait qu’il est impossible de bien distinguer les mâles des femelles… Et la flore marine s’en porte d’ailleurs très bien! De plus, les hippocampes se retrouvent sur les récifs coralliens multicolores et on imagine, leurs échanges de récits… d’hippocampes!
Venez voguer quelques instants dans nos eaux, à la découverte d’une réalité différente et dorénavant bruyante!
- création & réalisation : Adélaïde Joris
- illustrations : Julien Cayla-Irigoyen
- musiques : D-Funk
- son & montage : Lillia & Thierry
- création, réalisation et animation : Lillia Barbey & Sylvie Métraux
- illustrations : Julien Cayla-Irigoyen
- musiques : D-Funk
- son & montage : Lillia Barbey
Pour cette troisième saison du Podcast Récit(f)s d’Hippocampes, nous allons traiter de sujets qui concernent les jeunes LGBTIQ+ ainsi que leur donner la parole.
Pour ce troisième épisode nous vous parlons d’un projet qui est né dans les locaux de Vogay en 2022 et qui a pour but de sensibiliser les professionnel·le·x·s de la santé.
Vous pourrez découvrir l’exposition « Mots pour Maux » dès le 17 mai et jusqu’au 12 juin dans les locaux de l’HESAV à l’Avenue de Beaumont 21, 1005 Lausanne.
L’HESAV accueille la toute première exposition que nous avons en partie co-construite avec le collectif REACHED.
Merci à nos invité·e·x·s :
- Sophie, responsable du programme Santé de Vogay et infirmière de formation
- Sam, étudiant en soins infirmiers et jeune concerné·e ayant participé au projet
- Soline et Jessica, étudiante à l’HESAV et membre du collectif REACHED
Informations utiles :
- HESAV – @hesav_lausanne
- Collectif REACHED – @reached_hesav
Pour cette troisième saison du Podcast Récit(f)s d’Hippocampes, nous allons traiter de sujets qui concernent les jeunes LGBTIQ+ ainsi que leur donner la parole.
Pour ce deuxième épisode nous avons recueilli des témoignages de jeunes concernant leurs rapports aux fêtes de fin d’année et à la famille choisie. De plus, nous avons eu le plaisir d’accueillir Emilie Bovet, une spécialiste en santé mentale qui nous a fait part de son expertise et qui a réagit aux témoignages des jeunes.
En cas de besoin, vous trouverez des numéros ainsi que des sites internet d’aide et d’information. De plus, vous trouverez les coordonnées des répondant.e.s d’Accueil & Ecoute de Vogay.
Sur notre agenda en ligne ainsi que sur nos pages Instagram, vous trouverez les informations concernant nos événements de fin d’année. Rejoignez-nous pour passer un moment convivial 🎄💛
Infos utiles & ressources :
- Pro Juventute : Ecoute et conseils pour les enfants et les jeunes au 147
- La Main Tendue : Numéro d’urgence de première aide émotionnelle accessible 24h/24 au 143
- www.ciao.ch : site d’aide, d’informations et d’échange pour les jeunes
- www.stopsuicide.ch : site d’information et de prévention au suicide des jeunes
- www.santepsy.ch : Site pour la promotion de la santé mentale
- Service Accueil & Ecoute de Vogay
- En fin d’épisode, vous pourrez découvrir la chronique de Lillia Barbey qui nous livre un témoignage puissant sur son expérience de coming out à l’école.
Informations utiles :
En partenariat avec la Geneva Pride et pour l’IDAHOT 2021, Vogay vous présente quatre épisodes spéciaux des Récit(f)s d’hippocampes. Suivez le regard croisé de deux générations de « jeune·x·s » et « d’anciens jeune·x·s » du groupe de Vogay qui se rencontrent autour de sujets de société LGBTIQA+.
Dans cet épisode découvrez le dialogue entre la nouvelle génération et des quarantenaires autour de la transidentité et de la non-binarité.
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Dans cet épisode deux générations échangent sur l’évolution des droits LGBTIQA+.
En partenariat avec la Geneva Pride et pour l’IDAHOT 2021, nous vous proposons de suivre le regard croisé de 2 générations de « jeune·x·s » et « d’anciens jeune·x·s » du groupe de Vogay qui se rencontrent autour de sujets de société LGBTIQA+.
Dans cet épisode écoutez comme la place du féminisme à évolué à travers le temps et comment elle s’elle fait l’alliée des communauté LGBTIQA+.
En partenariat avec la Geneva Pride et pour l’IDAHOT 2021, Vogay vous présente quatre épisodes spéciaux des Récit(f)s d’hippocampes. Suivez le regard croisé de deux générations de « jeune·x·s » et « d’anciens jeune·x·s » du groupe de Vogay qui se rencontrent autour de sujets de société LGBTIQA+.
Dans ce premier épisode de la saison 2, un regard sur les coming out il y a 20 ans et aujourd’hui.
Invité surprise! Récit(f)s d’hippocampes a eu le grand honneur de recevoir Sébastien Chauvin, ancien directeur du Centre en Etudes Genre de l’Université de Lausanne et co-président de la Plateforme interfacultaire en études genre (PlaGe) qui vient nous apporter un regard socio-historique sur le « coming-out ». Il passe en revue l’histoire du « placard » dès la première moitié du 20ème siècle jusqu’à aujourd’hui et nous met en garde contre certaines injonctions. De la période du triple mythe et de la subculture au « coming-out » révélateur d’identité, Sébastien Chauvin nous fait réfléchir également, aux nouveaux placards ainsi qu’aux paradoxes des étiquettes. Et si vous avez envie d’aller plus loin, on vous conseille le livre « Sociologie de l’homosexualité » aux éditions La Découverte paru en 2013, dont Sébastien est le co-auteur.
Découvrez nos conseils pour survivre aux environnements toxiques pendant les fêtes. Les Groupes Jeunes ont posés vos questions à Justine, notre psychologue, qui revient sur plusieurs situations potentiellement tendues pouvant survenir prochainement. Joyeux Noël et Bonne Année 2021 sous le signe de la diversité !
A l’occasion du mois du Coming-Out, partez à la rencontre d’Alexia, jeune femme bisexuelle de 19 ans, qui nous confie en détails les différentes phases de son parcours. Elle raconte sans complexe, l’impact des schémas hétérosexuels sur la prise de conscience de son orientation sexuelle et dénonce avec ferveur l’hypersexualisation des femmes bisexuelles et lesbiennes, véhiculée par la pornographie « mainstream ». Issue d’une famille polonaise très catholique, elle nous partage la réaction de sa famille face à son coming-out . Entre rires nerveux, silences pesants, incompréhension et biphobie, sa bisexualité est perçue comme une « phase ». A bas les clichés ! Alexia aime les hommes, les femmes et ce n’est pas prêt de changer !
A L’occasion du mois du Coming-Out, nous avons eu le plaisir de recevoir une invitée un peu plus âgée qui a souhaité nous partager un peu de son histoire pour le moins atypique, puisque Thaina a fait trois coming-out! Elle a fait son premier coming-out en tant qu’homme homosexuel, puis en tant que femme transgenre pour terminer par une sortie de placard bisexuelle! Son parcours de vie, est inspirant et malgré les embûches auxquelles elle se confronte encore aujourd’hui, elle continue de se battre pour être reconnue et n’as plus besoin de la validation des autres pour savoir qui elle est! Grâce à ses conseils avisés, elle gagne un peu le statut de grande soeur, alors venez l’écouter!
- Enregistré à l’occasion du Coming Out Day, cet épisode nous emmène à la rencontre d’Alyx, étudiant au gymnase, qui se définit comme agenre, aromantique et asexuel. Pour vous aider voici les définitions de ces 3 termes:
- Agenre est une identité de genre, mais pas « un genre ».
- Aromantique = pas d’attirance romantique pour autrui.
- Asexualité = peu ou pas d’attirance sexuelle pour une autre personne.
Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode donne la parole à Clara, qui nous ouvre la porte sur sa réalité. Avec elle, nous avons abordé la question du harcèlement scolaire et brisé le silence autour de la question du suicide, en mettant en lumière à la fois les difficultés mais aussi les soutiens qui nous entourent dans ces situations particulières. La santé mentale, cette oubliée de la santé mais pourtant si essentielle. Comment vit-on avec des troubles de santé mentale ? Comment les accepter ? Clara nous emmène à la découvertes des tabous les plus encrés liés à cette question, courageux ! Elle nous donne aussi quelques pistes pour les moments où l’on va moins bien. D’ailleurs, créer permet de se connaître et de se (re)connecter à soi. Clara, elle, a choisi l’écriture et le Slam. Cadeau de fin de Podcast, elle nous a même fait l’honneur d’un passage sincèrement émouvant et vrai. Bonne écoute !
Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode nous emmène à la rencontre de Thibaud Alix Adélaïde, une personne gender fluid par cohérence et par exigence de sens vis-à-vis de son ressenti. Avec iel, nous avons parlé de la façon de se construire soi au milieu des constructions sociales qui pèsent sur nous, de leur impact sur notre santé mentale, et de l’importance de réfléchir aux limites que posent le genre pour se comprendre soi-même. Thibaud Alix Adélaïde nous explique aussi comment s’y retrouver entre les différentes étiquettes LGBTQIA+, comment naviguer dans l’espace public, être un.e.x vrai.e.x allié.e.x. et relève l’importance de la visibilité de la diversité sexuelle et de genre pour la sécurité et la dignité de tous.te.x.s. Laissez-vous porter par son discours éclairant et positif qui nous montre que « Cette question du genre, avant qu’on en ait conscience, elle est déjà là ».
Attention, oreilles sensibles soyez prévenues, cet entretien contient quelques gros mots! Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode nous emmène dans le monde de Léa, une personne qui n’aime pas les étiquettes et aime à déconstruire les normes de genre et sexuelles qu’on nous impose. Avec Léa nous avons parlé des circonstances très particulières dans lesquelles elle a découvert sa pansexualité, de la façon dont s’est passé son coming out, et de sa vision d’une société juste et respectueuse pour toutEs. Elle nous livre son conseil pour se vivre soi, conserver sa santé mentale, et oser demander de l’aide lors de passages difficiles. Engagez-vous avec elle sur chemin de la gaieté, avec ses tours et ses détours.
Attention, oreilles sensibles s’abstenir, notre invité s’exprime parfois crûment et avec une certaine verve! Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode nous emmène à la rencontre de Gilbert, qui nous parle du long trajet que fut son coming out, des craintes qu’il avait vis-à-vis de ses proches, et de ce qui lui a permis de faire « le pas ». Avec Gilbert, nous avons parlé du sentiment d’insécurité que les personnes LGBTQIA+ doivent gérer quotidiennement, des clichés qui pèsent sur les hommes homosexuels, de l’utilité du féminisme pour comprendre l’homophobie, et de l’importance des rôles modèles dans la culture populaire. Il nous donne ses conseils pour « sortir du placard » et s’adresse aussi aux parents…
Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode va à la rencontre de Clem, jeune non-binaire. D’ailleurs, être non-binaire, qu’est-ce que ça signifie? Le spectre du genre ? Kézakô ? Qu’est-ce que cela implique de se sentir plus proche des normes « masculines »? Tant de questions discutées avec Clem, qui nous raconte aussi comment se passent un coming-in et un coming-out.
On a eu la chance de discuter avec Clem des messages que nous adressent nos proches et la société concernant notre apparence de genre, et l’impact que cela peut avoir sur nous. Avec Clem, nous avons parlé de ce que signifie pouvoir être soi, du parcours pour se trouver soi-même, et de l’importance d’appartenir à une communauté bienveillante. Vous voulez être un.e.x bon.ne.x allié.e.x ? Iel nous livre aussi quelques conseils afin pour devenir plus inclusif avec les personnes non-binaires et plus largement, avec la communauté LGBTQIA+. A faire tomber dans toutes les oreilles !
Enregistré à distance en raison des mesures liées au Coronavirus, cet épisode va à la rencontre de Léa Anastasia, jeune femme trans* qui nous partage son expérience et son savoir. Avec Léa Anastasia on a parlé de ce qui signifie être une femme trans*, on a questionné les normes de « masculinité » ainsi que l’importance des modèles qui nous inspirent à vivre authentiquement.
Découvrez le parcours de combattante que Léa Anastasia traverse et les réalités parfois dures d’une transition aujourd’hui. Elle nous parle des « surprises » que peuvent réserver le corps médical et les barrières qui lui sont mises durant le processus de transition, encore mal connu. Léa Anastasia nous donne d’ailleurs quelques conseils… A mettre dans toutes les oreilles !
- Réf. trouver des professionnels de la santé transgenre: www.agnodice.ch
Dans cet entretien, nous découvrons Yaël, ses expériences liées à la lesbophobie et à d’autres discriminations. Elle nous raconte ses projets et sa perception de la situation actuelle pour la communauté LGBTQIA+ en Suisse. Avec Yaël, on a parlé défense des droits LGBT aujourd’hui et de l’importance de la visibilité dans la société et les médias, et bien plus encore! Elle nous livre ses conseils pour bien vivre son orientation sexuelle et son identité de genre, et nous adresse un message d’espoir pour la suite! Pour le découvrir, hop! écoutez notre premier épisode de Récit(f)s d’hippocampes →